Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/380

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se partagea également entre les deux sœurs.

Il avait pardonné à Angus dont il connaissait le faible esprit. Les filles d’Angus étaient les siennes.

Durant toute la route, il traita miss Mac-Farlane comme un père eût traité un enfant chéri. Mais, par l’effet involontaire de l’impression vive et profonde produite sur lui naguère par la vue d’Anna, le marquis, dans l’entretien décousu et bizarre qu’il eut avec Clary, prononça plusieurs fois le nom de sa jeune sœur. Chaque fois, ce nom tombait comme un fardeau sur le cœur de Clary. — Elle était alors jalouse comme dans son rêve, et le complet bonheur qu’elle ressentait de la