Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/398

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Il était fort contre un empire. — Dieu courba son front sous la faible main d’une enfant…

Nous ne prendrons point souci de dire ce que devinrent les autres personnages de ce récit. — Nous dirons plutôt les vagues et mystérieux espoirs nourris par ceux qui aimaient Fergus O’Breane.

Nous les dirons, parce qu’ils prennent sur notre esprit un superstitieux pouvoir, et qu’il est des heures où les circonstances racontées de la mort de M. le marquis de Rio-Santo nous laissent un doute énergique parfois, et parfois nous trouvent incrédule…

Randal Grahame, qui s’était jeté à bas de son