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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/54

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Stewart-House. Le mal affreux dont ma nièce était frappée a paru céder hier matin. Aussitôt nous avons mandé, à cause de votre absence, le docteur Hartwell, médecin ordinaire de lady Stewart… »

— Hartwell ! interrompit ici Moore avec un sourire amer ; — un empirique !… un ignorant !… un pédant !…

— Un âne, dit froidement Tyrrel ; — voyons la fin.

Moore était, assurément, un homme de grande pénétration, mais il n’existe point sur la surface entière du globe un médecin que la jalousie ne travaille et n’aveugle. Pour ne point chagriner trop les médecins, nous ajouterons que notre observation s’applique éga-