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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/62

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aplati, complètement terrifié. Il ne songeait même pas à relever son in-quarto bien-aimé, dont la reliure en parchemin était déplorablement écornée.

Paddy le toisait de cet air tranquille et dépourvu d’orgueil qui va si noblement aux triomphateurs.

Le visage irrité du docteur annonçait l’imminence d’une violente sortie. Ce savant homme était ce matin-là d’une humeur détestable. Tyrrel voulut s’interposer.

— Eh bien, Paddy ?… commença-t-il.

Mais Moore se leva brusquement.

— Qu’est-ce à dire ? s’écria-t-il ; — allons-