Aller au contenu

Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/65

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


— Voyons, capitaine, dit Tyrrel sévèrement, venons au fait, je vous prie.

— Venons au fait, milord… Je veux bien avoir affaire à vous, qui êtes un homme sachant vivre, bien que, — c’est la vérité, feu de l’enfer ! — bien que vous ressembliez trait pour trait à un juif que j’ai vu pendre devant Newgate, — et qui avait la figure d’un triste coquin, milord… Vous ne dites pas, vous, à un gentilhomme de sortir ! vous ne traitez pas de rustre, soyez damnés vous et moi, que diable ! et tout le monde ! — un homme qui a commandé honorablement le sloop le Hareng frété, par…

Tyrrel frappa du pied et prit cet air terrible qui faisait jadis trembler Susannah et Ro-