Aller au contenu

Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/75

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

pour faire tenir une lettre de Tyrrel à sir William Marlew, le sous-caissier central.

Restés seuls, Moore et Tyrrel rapprochèrent leurs sièges et commencèrent une conversation à voix basse, bien que personne ne fût là pour surprendre le mystère de leurs paroles. Cet entretien fut long. Quand ils se levèrent, Tyrrel dit en mettant sa main sur le bras du docteur.

— Quoi qu’il arrive, croyez-moi, laissez-le mener complètement cette affaire… après, on pourra voir.

— Mais s’il a le dessein, comme je le crois, objecta Moore, de faire de la Famille et de nous-mêmes les instruments de ses desseins