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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/85

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— Et vous faites bien de l’aimer, ma chère petite sœur, dit-elle, car elle est bonne comme vous… pauvre enfant ! Ne voyez-vous pas que tous ces tristes souvenirs qui vous font tant de mal ne sont que des rêves !… Ils ont torturé votre âme, les cruels, encore plus que votre corps… Écoutez-moi, Clary, ma belle Clary, vous allez être libre… Ne songez plus aux tristes visions qui ont tourmenté votre solitude… Tout cela n’est que mensonge, ma sœur…

— Je l’ai vu ! murmura miss Mac-Farlane en frissonnant.

Puis elle ajouta d’une voix sourde :

— Je sais une longue histoire… Notre nour-