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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/90

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murmura-t-elle ; — à présent, je n’en oublierai plus le chemin.

Elle frappa. Ce fut Anna qui vint ouvrir. La belle fille la baisa au front avant qu’Anna, étonnée, pût se reconnaître, puis elle lui montra le fiacre.

— Votre sœur est là-dedans, Anna, dit-elle.

— Ma sœur ! s’écria la jeune fille en s’élançant au dehors.

Susannah la vit franchir le marchepied du fiacre et mettre sa tête dans le sein de Clary. Elle resta une seconde immobile et les yeux humides, puis elle traversa rapidement Corn-