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Page:Féval - Les contes de nos pères, 1845.djvu/38

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LES CONTES DE NOS PÈRES.

Avant qu’Henriette pût répondre, on entendit armer un pistolet sous le feuillage. Aussitôt un bruit de pas agiles et précipités retentit sur le gazon du parc, et la voix, lointaine maintenant, continua avec un accent de bravade :


Les rochers y sont de pierre,
De pierre du haut en bas :
Le soleil ne les fond pas,
Non plus la lune…
Et vous, gars à marier,
Cherchez fortune !