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noux, et refoulant les sanglots qui déchiraient sa poitrine.
— Mon Dieu !… mon Dieu ! répétait-elle, ayez pitié de moi… C’est pour lui… pour elle et pour lui !
Nous l’avons dit : entre la famille d’Osser et le bonheur, il n’y avait que Claude Rembrès. Après la mort du forçat, Armand fut heureux, Florence fut heureuse.
Robertine ne retrouva jamais son sourire.
FIN.