Page:FR631136102-Discours pour le tricentenaire de la naissance de Blaise Pascal - A 34544.pdf/86

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ont su donner aux fêtes du Tricentenaire, fêtes auxquelles le Conseil général du Puy-de-Dôme a été si heureux de s’associer, et je me permets de saisir l’occasion solennelle qui m’en est offerte pour les féliciter au nom de l’unanimité de mes collègues des efforts constants et efficaces qu’ils déploient pour accroître la prospérité, le prestige et la beauté de la ville de Clermont-Ferrand, capitale de notre département et métropole du plateau central.

Nous remercions les membres du Parlement et les hauts fonctionnaires des départements voisins dont la présence nous est précieuse parce qu’elle atteste, une fois de plus, notre étroite union pour la défense des grands intérêts collectifs de la magnifique région qu’ensemble nous avons l’honneur d’administrer et de représenter.

Nous remercions MM. de Lasteyrie, ministre des Finances, Maunoury, ministre de l’Intérieur, Léon Bérard, ministre de l’Instruction publique, Yves Le Trocquer, ministre des Travaux publics, Henri Chéron, ministre de l’Agriculture, Peyronnet, ministre du Travail, Strauss, ministre de l’Hygiène, Gaston Vidal, sous-secrétaire d’Etat de l’Enseignement technique, Laurent Eynac, sous-secrétaire d’Etat de l’Aviation, qui ont bien voulu, par leur présence rehausser l’éclat des Fêtes de Pascal et nous donner une preuve nouvelle de l’intérêt qu’ils portent à notre département, soit comme représentants des départements voisins auxquels nous unissent les liens les plus cordiaux et les plus étroits, soit comme ministres compétents dont la sollicitude est toujours en éveil et dont le concours n’est jamais sollicité en vain.

Nous remercions spécialement les éminents représentants de la science, des lettres et de la philosophie, venus au nom des Académies étrangères, de l’Académie des Sciences, de l’Académie Française et de toutes les sections de l’Institut pour célébrer la gloire de Blaise Pascal.

Notre gratitude est profonde, pour vous, surtout, Mon sieur le Président, qui avez bien voulu porter l’hommage de la France elle-même à Biaise Pascal et enrichir d’un grand souvenir de plus le Livre d’Or de notre vie provinciale.