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possède une courbure métrique et une courbure tensorielle ; les composantes de la première sont celles mêmes du champ électromagnétique ; celles de la seconde sont celles mêmes du champ de gravitation.

Weyl conclut à l’homogénéité de l’univers et des représentations que nous nous en faisons ; il n’y a pas de dualité géométrique et physique ; les deux champs que nous faisons intervenir par nos calculs sont l’un et l’autre de nature physique et accessibles à notre expérience ; les calculs de l’un et de l’autre sont réductibles aux mêmes méthodes géométriques.

L. F.