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l’heure fatale.
« Depuis ce moment, je m’expliquai ce que j’avois entendu dire à plusieurs personnes, et combattre par mon père ; c’est que tandis que Séraphine étoit à la maison, on l’avoit vue ailleurs. Je réfléchis aussi en secret sur ce que ma sœur m’avoit répété plusieurs fois, que dans son enfance elle ignoroit si c’étoit dans le sommeil ou dans l’état de veille, elle avoit été ravie au ciel, où elle avoit joué avec les anges ; incident auquel elle attribuoit le peu de goût qu’elle prenoit aux jeux de notre enfance.
« Mon père combattit cette idée avec non moins de force que l’évènement extraordinaire dont j’avois été témoin, et qui expliquoit sa disparition subite du jardin.
« Ne me fatigue pas davantage, me