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l’heure fatale.
avoit peine à me suivre, tant je me hâtois pour franchir l’espace qui me séparoit de Séraphine.
« A mon arrivée dans sa chambre, mon impatience se trouva bien loin d’être satisfaite.
« Où est-elle ? » demandai-je avec vivacité.
« Qui, mademoiselle ? »
« Mais, Séraphine ? »
« Mademoiselle Séraphine est dans le cabinet de M. votre père. »
« Seule ? »
« Non, avec son excellence. »