Page:Fauche - Le Mahâbhârata, tome 1.djvu/66

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Victorieux d’Angârapama sur les bords du Gange, Arjouna se lie d’amitié avec lui et l’écoute raconter le superbe épisode de Tapatî et celui d’Aaûrwa, où parle Vaçishtha. Il se rend, accompagné de tous ses frères, chez les Pântchâlains. 386-387.

Dhanandjaya perce le but d’une flèche dans la ville de ces Pântchâlains et obtient là au milieu de tous les rois du monde la belle Drâaupadî. 388.

Là, Arjouna et Bhîma triomphent des monarques en courroux ; là, Karna et Çalya sont vaincus dans un grand combat sous la force de ces deux frères. 389.

Balarâma et Krishna à la haute sagesse, témoins de leur vigueur incomparable et plus qu’humaine, soupçonnent qu’ils sont des Pândouides 390.

Et se rendent à leur maison chez le rejeton de Bhrigou. Indignation de Droupada en voyant que sa fille est l’épouse de cinq maris. 391.

Ici, l’on raconte l’épisode merveilleux des cinq Indras, d’où il suit que le mariage extra-humain de Drâaupadî est l’œuvre des Immortels. 392.

Le fils de Dhritarâshtra envoie Kshattri aux fils de Pândou. Arrivée de Vidoura chez eux : Kéçava se montre à leurs yeux. 393.

Habitation sous les ombrages du Khândava ; empire donné sur la moitié du royaume ; obéissance aux paroles mêmes de Drâaupadî suivant le conseil de Nârada. 394.

On dit également l’épisode de Sanda et d’Oupasanda. Immédiatement après, on voit Youddhishthira assis avec Drâaupadî. 395.

Entré derrière lui pour le service du brahmane, Phâlgouna, ayant saisi son arme et repris les vaches aux voleurs, retourne au logis, sa résolution bien arrêtée. 396.