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Page:Fauche - Le Mahâbhârata, tome 2.djvu/348

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Akroûra, Kritavarman et Satyaka, le fils de Çini, 125.

Bhishmaka, Ankriti et le vigoureux Dyoumatséna, les héros Katkéyains Djajnaséna, Saâumaki, 126.

Kétoumat, Vasoumat et Kritàstra à la grande vigueur : ceux-ci et beaucoup d’autres kshatryas, estimés les premiers dans la caste, 127.

S’assirent dans le palais au-dessous d’Youddhishthira, le fils de Kountî. Avec eux siégèrent les fils de roi à la grande force, qui, portant une peau de gazelle pour vêtement, étaient venus apprendre sous Arjouna la science de l’arc. 128.

Ses leçons avaient formé, sire, les jeunes princes issus de Vrishni : le fils de Roukmini, Sâmba et Youyoudhâna, fils de Satyaka, 129.

Soudharman, Anirouddha et le roi Çaîvya. Là siégaient Toumbourou, l’ami constant d’Arjouna, 130.

Tchitraséna avec ses ministres, les Gandharvas et les Apsaras, habiles pour le chant et les instruments de musique, experts à danser en battant la cadence. 131.

Anittîés par Toumbourou, les intelligents Kinnaras, accompagnés des Gandharvas, chantèrent là sans relâche, mariant leurs voix célestes avec méthode, obserxant la mesure, les temps égaux et les intervalles ; et, déployant leurs talents, ils charmaient les rishis et les lils de Pândou.

Tous, fidèles aux devoirs de leur profession, constants dans sa vérité, ils servaient sans aucune interruption Youddhishthira, comme les Dieux servent Brahma dans le ciel. 132-133-134.