Page 93, stance 6495, trois mots sont oubliés. Ajoutez : « répondit le Gandharva, après ceux-ci : « Vous n’aviez pas de feu perpétuel allumé. »
Page 115, ligne 6e : vit le solitaire ; lisez : vit un solitaire.
Page 242, ligue 18e, une faute d’impression, qui n’a pas été corrigée : Içavura pour Içwara.
Page 256, substituez au titre du chapitre celui-ci : Échange des présents de noces.
Page 280, ligne 13e : « comme s’il avait l’envie … ; » lisez : comme s’il avait envie. »
Page 408, lignes 20e et 21e : « on ne le tuera pas dans le combat, que lui suscitera Madhoubhid ! » lisez : « on ne le tuera pas dans un combat soutenu contre Madhoubhid ! » Il y a là probablement une faute dans l’édition.
Page 574, ligne 16e : lié par les chaines de la colère, faute d’inattention, lisez : par les chaines du devoir.
Page 576, ligne 2e, un mot passé, lisez : « perd, à mon avis, son bien comme dans un rêve. »
Même page, ligne 3e, un contresens par la faute de l’édition, qui écrit niçasya. Je m’aperçois en relisant qu’elle aurait dû mettre, niçamya ! Lisez donc ainsi : « Que le jeune prince de Kourou ne s’écarte pas de ce devoir en écoutant la parole du roi de Gândhdra, son oncle. »