Page:Faucher de Saint-Maurice - À la brunante - contes et récits, 1874.djvu/138

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III.

martial paie sa dette.


— Prendrez-vous du thé, chevalier ? voyez comme il est chaud et parfumé. Si vous essayez une fois de ce breuvage, je parie que vous ne pourrez plus vous en passer.

— Capitaine, vous êtes un tentateur : vous autres, Anglais, vous ne vous méfiez pas assez des Chinois,