Page:Faucher de Saint-Maurice - À la veillée - contes et récits, 1879.djvu/50

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II

L’amiral pleura toutes ses larmes en cinq minutes ; car, une fois son désastre bien constaté, il se tourna flegmatiquement vers Paradis et lui dit froidement :

— Monsieur, je vous avais donné le choix entre la barre ou la drisse de mon hunier ; vous serez satisfait de moi, vous aurez les deux. A hoy ! lieutenant, faites monter le capitaine d’armes. Brown, mettez les fers à ce gaillard-là et faites-