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chap. xxv. — départ.

la puissance de l’amitié sur deux nobles cœurs.

Le soir les fermiers du Baron vinrent souhaiter la bienvenue à l’hôte du château et des réjouissances furent faites en son honneur.

Quelques jours furent consacrés tout entier au bonheur de se revoir, mais après, le baron s’occupa d’assurer l’avenir de notre héros.

Wilhelm avait rapporté une fortune considérable. D’après le conseil du baron, il acheta le beau domaine de Rednitz dont les terres touchaient à celles de Wolfensheim, et, par le crédit que le baron avait à la cour, il obtint du roi l’autorisation de prendre le nom de ce domaine.

Un an après cet événement le baron récompensa les nobles efforts de Wilhelm en lui donnant la main de la charmante Berthe, qui pendant toute son existence se plut à embellir celle de son mari.


FIN.



Corbeil, typographie de Créin.