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mour » ). — Divinité qui a un autel sur le mont Nîla, 21.

Kamâlakar. — Fils de Tripurâkâr, purohita de Vikramâditya. Son père lui ayant fait honte de son ignorance, il voyage pour s’instruire et rencontre Naramohinî qu’il épouse avec l’aide de Vikramâditya, 8.

Kanakakrita ( « Fait d’or » ). — Montagne très dangereuse, où résidait le yogî Trilokanâtha qui donne trois talismans à Vikramâditya, 19.

Kancî et Kancipurî. — Ville où demeurait Naramohinî délivrée par Vikramâditya, 8.

Kandarpa. — Né au sein de Laxmî, l’a pris de haut avec Brahmâ et tous les dieux, 11. — (Nom du dieu de l’Amour).

Kanthâ. — Talisman qu’il suffit de toucher pour obtenir les richesses auxquelles on pense, donné par le yogi Trilokanatha à Vikramâditya qui le donne à un roi détrôné et mendiant, lui permettant ainsi de recouvrer ce qu’il a perdu, 19.

Kanyakubjâ. — Pays, patrie de Siddhasena. Intr.

Karbura-mantrajâla ( « Réseau du mantra d’or » ). — Signe du corps qui, placé dans l’intérieur au côté gauche, détruit l’effet de tous les signes défavorables, supplée à tous les signes favorables, et assure à celui qui le possède l’aptitude royale. Vikramâditya était pourvu de ce seul signe, 28.

Kârtika. — Septième mois de l’année indienne, 2.