Page:Feer - Contes indiens, 1883.djvu/334

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Kâmakhyâ du mont Nila la manifestation corporelle des huit rasas en faveur d’un étranger ; il était prêt pour cela à s’immoler, 21. — A un cauchemar, à la suite duquel il entreprend de grandes libéralités, 22. — Fait la guerre à Çâlavâhana qui n’avait pas voulu se rendre près de lui et n’est sauvé que par l’amrita de Vasuki, 23. — Est prêt à s’immoler pour conjurer la famine qu’un Pandit lui a prédite ; obtient qu’il n’y ait pas de famine dans ses États, 24. — Se dévoue pour sauver une vache menacée par un tigre et reçoit de la vache et du tigre qui ne sont que des dieux déguisés, la vache kâmadhenu, 25. — Enlève l’eau du Gange céleste sur l’autel de Manassiddhi et obtient ainsi d’un joueur qu’il ne jouera plus, 26. — S’offre en victime à la divinité Conitapriya et fait cesser les sacrifices humains dans Vetâlapura, 27. — Veut s’ouvrir le corps pour constater dans son flanc droit l’existence de Karburamantrajâla, est dissuadé de le faire et n’a pas de doute sur l’existence de ce signe, 28. — Un Vaitâlika produit une scène non réelle qui met en lumière la sagesse et la fidélité de Vikramâditya, qui reçoit de grands présents du roi de Pandya, 29. — Achète le palais de Somadatta et lui en fait don après qu’une pluie d’or y est tombée toute la nuit, 30. — Observe la parole donnée en achetant l’image Dâridra, et se voit abandonné par toutes ses qualités qui finissent par revenir pour