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avec sa mahresse : la mère de l~ fille gitqn fut mariée et dotée aux déretirait aussitôt l’échelle, l’enfer- pens de la république. Les tyrans fumait sous la clef I ét 1~ lendemain rent chassés ’d'Athènes la même anmatin venait la remettre à la trappe née qu~ l ~s ·rois lç furent de Ï.ome, pour ouvrir l_eur prison. Aristippe, l’au 513 avant·J .- C. malgré ces précautions, fut assassiné AllSTQMÈNE ie• ou AIUSpàr un Crétois, l’an 24J avant J._- C. TODtME., roi dçs l"Iesséniens dani . ARISTOBULE , de la race des la lforée, épuisa te_lleme_nt Lacédésacrificateurs juifs, était préçepteur mo1_1e de ci_toyens, dans une guerre. de Ptolémée - Evergète, fils aîné de qu’il ent éqntre_ cette. répubJique, Philo_métor, roi d’Egypte, l’an_120 que l’armée lacédémonfè1ine reù-’ avant J.-C . La synagogue de Jéru- voya à Sparte ies q9uveau~ soldats, salem lui écrivit une belle lettre, et leu_r prostitua les fçmmes et les’ pour lui donner avis des grkes que filles pour r_epeupler le p.ay~ . Ceux Dieu avait faites à la nation, en la qui nâquii ;enf de ce commerce, fodélivrant du cruel Antiochus, ile re~t ·appelés Parthé1J,iens ; ils se l’opprèssion des Macédo_niens , et_ bannirent ensuite eux - mêmes de en découvr :tnt aux Solymitaiqs le feu Sparte, et allèrent, sous l,t éonduite· sacré, caché depuis si long-temps. d ·un certain Phalante, s’établir à Ta-Elle le suppliait, lui et tous les Juifs rente en Italie.· Aristomène se tua qui étaient en Egyp~e,de célébrer en sur le t01.nbea1.rrle sa fille ; qu’i} avait : action de gd.çes, avec pompe et so- sacrifiée pour faire. cesser une peste. lennité, la·f ~te de _la Scénopégie. - < ;:ui ravageaiCsa patrie, vers l’an 724. I !:ne faut pas le cqnfondre avec A- avantJ. -C . ·

RIST0RUI :E, frère d’Hyrcan Il ( voy. AIU STOM_ÈNE II , général des ce· m _ot), ni :tvec ARISTOBULE_, Juif 1esséniens·, souleva son jiays çontre, et philosopl1e péripatéticien, qui dé- Sparte, l’an 685 av~nt J,-C. Ceux dia -des livres, qui contena_ieut Je_s d’Argos, d’Elirle, d !! Sicyone, fll- ~ commentaires sudes livres de-1loï-

·vorisèrent la révolte. Aristomène

se, à Pto1ém~e -Philadelphe, se.Ion )attit les La< :édémouiens, s’~ntro-o -Etïsèbe, Hist. ecclés., liv. 7, et mou- .duisit à Sparte, pendant la nuit, et

rut. 160 :ans auparavant.

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attacha à la porte du temple de l’ !Ii-ARISTODÊJIB.

Voyez AR_lS- ,n !!rve un bquclier ql1i alarÎn.a le pèu-TOM : È ;NE 1er. ·

lpl !! de cette ville. Le,s ~lesséni~n ~, . llUSTOGITON conspira coμ- après qu~lque.s succès, (urent abantre Hipparque, tyran ff Athènes. li donnés de JeQrs alliés , vaincus , et se joignit à’ Harmodius , et délivra obligés de ~e retirer dans. une place son pays du fléau de la tyran,nie. fort~ sur le ll)Qnt. Ira. A,ristoll !èn~ Hippias, frère d’Hipparque, fit met- soutint le siége pendant onze ans. tre inutilement p_lusieurs person,nes Ma !s énfin ol,iligé qe çé9ei :,. il se réà la tortur,r-, entre antres une cour- fugia dans l’île,d·e Rhodes. 11 .f~t tué tisanii_, qui se coupa_ la. langue. avec q,uêlquç te !Dp~ ap,rè,s. ~ o.i1. ,· selo.n les dents·, plutôt que de découvrir la d’autres, il mourut 13,e malad.i !!-, l’an couspiratio~ .

Le.s Atliéniehs firent 64,o avaμt·J. -C’. On di~ que· ;Iqrs- : élever, dans la. place publique_,, des q-q’ on ouvrit sèni corps, !Hi h~i i,rou.v . ;i statues. à leur libéràteur’ honneur. le cœur tout velu ... ’ . . .. ·-

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qui aupam ;;nt n’avait’ étë : :icè~rd~ à . ’Alt1S10N :;. fil ;’l : ’ët su.ccèsseur Jiersônne> Unepetite’ :.fi.lle·d’Aristo- d ? Agàsitlé dans le _royaiime à,e,La- .

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