AhM ARM 2® . · AR.LOTTO., curé cle -la -paroisse· rpi ;·prcv·enu :contre clic, allait l’exi- 1lc Saint-Juste à Florence, dans le Ier, prit la fuite, et alla se mettre i5• siècle. Son nom de famille était sous la .protection du duc de Bour- 111ainardi ; mais il n’est guère connu gogne. Ce prince arma pour sa déqne sous celui d’Arlotto. Cet homme lènse. Le connétaQle laissa surprense renclit célèbr_e de son Lemps par dre Paris en juin 1418. li eut b"eau .ses bons mots , ses tours joyeux , et se cacher ; il fut décelé par un mases saillies originales. On en fit un çon, chez qui il s’était sauvé. Les recueil après sa 1nort sous le titre Jlourguignons ne firent d’autre mal <le Facelie, fabule, e motti del au connétable, que de le mettre en Piovano Arlotto, prete ftoren- prison, dans l’espérance qu’il avouetino. Ce recueil a été réimprimé plu- rait· où étaient ses trésors. Mais à sieurs fois. li mourut en 1483, à 87 quelques jours rie là , sur le bruit ,ans. qui se répandait que lui et le chan-ARlIACH ou AH.MAC HA.NUS. ce lier en seraient quittes ponr de Voyez RccnARD D’ ARMACII. l’argent, le1peuple en fureur alla les ARMAGNAC ( Jean d’ ) , car- tirer de la conciergerie, et les masdinai, fils naturel de Jean II , oomte sacra sur-le-champ dans la cour du . d’Armagnac, et frère de Jean lll, et palais. <le B~rnarcl, ~onnét,ahle de France,, ARMAGNAC ( Jean d" ), ma~ futfaitarchevequcdAuch,parCie- éhId F · ·· dG ment VII, en 1391 ; puis conseiller ’j c a I c .. ~~i~ce ; s~igrn~ : 1 ~ 1.ed our : d’état en. 14-01, par le roi Char- tLOn ! cX1eiv~ i ~rfiel _enta~ !el aJn Il IrVot l’VItfi·<lil p· ou1s. ,eta1t 1 sna ure, c ean , .es
- e en n car na par terre, comte d’ Atmao-nac. Il fut l’un aea
de Lune, en 1409. Il mourut peu de 1••. • . fa·t>• dL.·XI .... t ~ prmc1paux vons e oms , qu, · emApls : 1 PrcG~·NA. ( B d t lui donna le gouvemei’ueni du Daù... • 1,1 ’-' ernar com e 1.éIl.. 4..,. d’)tèlé,dttt · p11n • mourut en I ï1, avec une ’ r ;t’upr_.cc J1~.’ u 1 1 tsei_- réputation ti’ès-médiocre de c :ipa. : . . f1er U premied mente. ava,t cité et de vàlèur. Il ne düt lè bâtod d a.tt . a &uerrle pe_n a1~t 20 adnsca,vec qu’à la faveur de Louis XI ; car il 1stmclwn. ,a reme, 1emme e 1ar · , . . . . . ·1 VIIfi · ,1 n avait pma1s servi. es , e 1tveniraacour,pour . , le mettre du parti ries Orléanais : ARMAGNAC ( George d’), fils c’est de là qu’ils furent 11o~més Ar- _de Pierre, ~atard ~e Charles d’ ~r tnagnàcs. Le comte se fit acheter ma !inac, comte de 1 11~-en-Jourdam, bien cher ; car outre l’épée de con devmt archevêque de foulouse, coùétahle qu’il reçut presque en arri- lé~at et ~rchevêqued’ Avignon. Il fut vant il se fit encore donner le com- fait cardmal, en r.51 ~4, par Paul III, mandement absolu des troupes et el mouru~ en 1585, à 85 ans ? à. A .vi- · des finances. La liaison de la reine gnon, dans le couvent des M1111mes, et du· connétable, ne fut pas de qu’il avait _fondé, aprè~ avoir signalé longue durée. _ Le comte d’ Arma- dans plus1~1 ~rs occas1~ns son :r.èl~ gnac , homme fort rigide , désap- pour la reltg,on catholique. Il pro- :-- . prouvait pu_hliqucment _la conduite tégea ,les’ gen~ de le.ures, e~ e ~, fit de cette prmccssc ; q1u, pour s’en connaitre plusieurs a Fran~01s l . .· débarrasser, s’unit avec ses ennc- · ARMA.GNAC·(Jean,comted’} mis. La ,reine voyant que le conné- V . l’article de JEAN V, comte d’Ar- · table avait .juré sa perte , et. que le magnac , dans lequel il est pai·lé de·
