Page:Femmes-poëtes de la France, éd. Blanvalet, 1856.djvu/126

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Alors, prête à voler vers la plaine éthérée,
Du feu de ton amour mon âme dévorée
Veut briser les liens de sa captivité ;
Elle fuit loin du monde, et, déployant ses ailes,
Monte et va s’enivrer aux voûtes éternelles
De gloire et d’immortalité.