Page:Femmes-poëtes de la France, éd. Blanvalet, 1856.djvu/207

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Il ne vit pas, sombre et farouche,
Les pleurs qui roulaient sur mon sein.
Un mot expira sur ma bouche…
Je voulais lui tendre la main.
Mais lui : „Que l’amour qui nous lie,
„Soit brisé par toi sans regrets !
„Oui, tu le veux que je t’oublie…“
Il était loin. Moi, je pleurais.