soient symétriques. Après qu’on a quitté le tremplin, on peut faire mouvoir deux ou trois fois les bras en cercle comme une hélice
Ce mouvement ressemble au battement d’ailes d’un gros oiseau et aide à parcourir un trajet un peu plus long. La position qui produit l’effet le plus imposant est celle où les bras sont légèrement ployés en avant et où les mains, ou au plus les avant-bras, sont employés en quelque sorte à ramer. Si le sauteur maintient en même temps, dans cette position, ses skis serrés l’un contre l’autre, bien parallèles entre eux et à la pente, il semble planer comme en un vol majestueux.
un sauteur norvégien (position très correcte).
(Cliché Tairraz.)
Le maintien convenable de la position des skis est la partie la plus difficile de la tenue dans l’air. Une position absolument correcte, les pointes dirigées vers le bas, est exceptionnellement rare. Si, peu après avoir quitté le tremplin, on jette de côté et en arrière les bras qui étaient en avant au début, et si de nouveau on redresse