Je continue… On a mis tout ce que je vous ai dit, sur ce que je vous ai dit, et alors il vient un homme !…
Le gendre !
Oui, le gendre, qui vous prend votre fille… la chair de votre chair… le sang de votre sang… Ah ! tenez, sire ! je regrette que vous n’ayez pas eu de fille… vous me comprendriez !
Eh ! bien, je te comprends, Ottokar ! Je t’ai compris ! Je respecte ta douleur !
Très-bien !
Mais attends donc !… on a rencontré, sur son chemin, une jeune fille qui réalise le type rêvé… on a mis tout son cœur sur cette jeune tête blonde ! tout son espoir… toute sa tendresse !…
Doucement, vous aussi !
Puisque je suis ton mari !… Je continue : on a mis tout ce que nous avons dit, n’est-ce pas, sur ce que nous avons dit, et alors il vient un homme…
Le beau-père !
Oui, le beau-père… qui vous refuse votre femme… et qui vous pleurniche dans le sein, sous prétexte de jalousie paternelle !…
Pleure… pas pleurniche !