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LE CHANT DES SEPT FRÈRES.
« Adieu, manoir légué par nos aïeux,
Vieux Rosamoz , qu’habita notre père !
Adieu tes tours, tes donjons spacieux !
Ta pauvreté va nous fermer les yeux ;
C’est par ,1a mort que l’homme échappe à la misère.
Tes murs étroits ne pouvaient contenir
Du châtelain la nombreuse lignée ;
Nous étouffions ; il fallait en sortir :
Avec nos jours tous nos maux vont finir...
Tu reprendras bientôt ta puissance oubliée.
Chants de bonheur, ébranlez ce séjour !