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Page:Feuillet - Le Journal d'une femme, 1878.djvu/251

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donné quelques années heureuses. — M. d’Éblis, qui était venu l’assister dans ces angoisses suprêmes, le pleura avec des transports désespérés. Je passe brièvement sur ces amers souvenirs : Dieu sait que l’expression de mon chagrin, si vive qu’elle pût être, ne manquerait pas de sincérité ! mais, à l’heure où j’écris, elle manquerait de bienséance.