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Page:Feuillet - Le Journal d'une femme, 1878.djvu/50

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ments récemment construits lui composent une cour particulière où il a ses écuries et son chenil, et qui lui donne une sortie sur la campagne. Il peut ainsi aller et venir sans traverser la cour principale.

M. Roger occupe les appartements du rez-de-chaussée, et nous sommes logées, ma grand’mère et moi, au premier étage ; nous avons été admises, m’a dit Cécile, dans ce lieu sacré, comme étant les personnes les plus tranquilles de la société. Nous sommes, d’ailleurs, en communication avec le château par des corridors ménagés à chaque étage, et nous pouvons circuler librement sans être exposées à rencontrer M. de Louvercy. Cependant Cécile nous a prévenues qu’il montait quelquefois au second étage pour travailler dans la bibliothèque ; mais, a-t-elle ajouté, rien ne vous