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— Rien ne presse, il me semble.
— Je te demande pardon !
— Ta situation entre ces deux messieurs n’a rien de désagréable.
— Vraiment… tu crois cela ?… et mon cœur… mon faible cœur, qu’en fais-tu ?
— Il a parlé ?
— Non… mais il est impatient de parler… il brûle de parler… donne-lui la parole !
J’ai vu pourtant qu’elle n’y tenait pas autrement. J’ai répondu par je ne sais quelle plaisanterie, et nous sommes rentrées au château, où la cloche du déjeuner nous rappelait.
La vérité est que le choix entre les deux candidats me semble fort difficile. Le résultat de mes observations et de mes informations à leur égard continue d’être à la fois