des cerises sur le nez ne doit pas être un bien méchant diable !
— Je vous remercie, commandant, a repris Cécile ; la leçon y est… mais elle est douce. Comme je le disais ce matin à votre belle voisine, vous êtes un père pour moi !
M. d’Éblis a salué en souriant, et nous avons poursuivi le cours de notre conversation en tête-à-tête. Si j’en crois certains indices, ce vaillant soldat serait, comme disent les épitaphes, aussi bon fils que bon ami. Il a une façon grave et tendre de dire : — « ma mère » — qui me paraît être toute une révélation. Ce mot revient avec insistance sur ses lèvres : — « C’est à cause de ma mère… Ma mère le désirait… Cela plaît à ma mère. » — Il a même dans une minute de distraction laissé échapper le mot :