Page:Feydeau - Gibier de potence, 1885.djvu/46

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Dubrochard.

Il n’y en a pas ?… mais alors, qu’est-ce qu’il racontait, le commissaire ?… Non, mais est-il bête ! (Aux agents.) Allez dire au commissaire qu’il n’y a pas plus de criminel que dans votre œil.

Sortie des agents.
Lemercier.

Eh bien ! moi, j’en ai assez des actrices… je retourne à Quimper…

Dubrochard.

Et moi, à mon épicerie… Et si le commerce ne va pas, eh bien ! je me fais commissaire de police… s’cregnion gnieu gnieu !…


FIN



Imprimerie générale de Châtillon-sur-Seine. — A. Pichat.