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Page:Feydeau - Gibier de potence, 1885.djvu/7

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Gibier de potence


Un salon octogone, chez Plumard, mobilier élégant. — Porte au fond donnant sur le vestibule. — À gauche, premier plan, une cheminée. — À droite, premier plan, une porte donnant dans les appartements de Plumard. Dans le pan coupé de gauche, une porte donnant sur un cabinet noir. — Dans le pan coupé de droite, une porte donnant dans les appartements de Pépita. — Entre la porte du fond et le pan coupé de droite, une petite console. — À droite, premier plan, sur le devant de la scène, une table avec un tapis et ce qu’il faut pour écrire. — À droite et à gauche de la table, une chaise. — Au premier plan à gauche, sur le devant de la scène, une autre chaise. — Au fond, de chaque côté de la porte d’entrée, une chaise. — Sur la cheminée un mètre impliable en bois ; contre la cheminée, un petit cerceau à sonnettes pour enfant.


Scène première

PÉPITA, PLUMARD.
Plumard, [1] écrivant à la table de droite…

Vous le reconnaîtrez facilement à son air de profond crétinisme. Signé : un anonyme… qui ne dit pas son nom. (Parlé.) Là ! voilà qui est fait… Et maintenant à nous deux, mon bonhomme.

  1. Plumard, Pépita.