Page:Feydeau - Je ne trompe pas mon mari, 1921.djvu/102

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Bichon. — Faire fortune avec des cochons ! oh ! ce qu’il faut en falloir !

Dotty. — Beaucoup.

Bichon. — A qui le dites-vous !

Dotty, se levant. — Et alors ! qu’est-ce que je dois faire, pour le monsieur ?

Bichon. — Ah ! pour le… pour le monsieur ?… Eh bien, puisque vous l’aimez, faut le lui faire dire…

Dotty. — J’ai demande à ma fiancé ; il ne voulait pas.

Tommy, rageur. — Oh ! no !

Bichon. — Oh ! que c’est curieux !

Dotty, apercevant Saint-Franquet sur le pas de la porte de l’hôtel. — Oh ! dear me ! Here he is ! here he is !

Bichon, se levant. — Comment !