Page:Feydeau - Je ne trompe pas mon mari, 1921.djvu/126

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Micheline. — Alors, tu admets ça, toi, tu admets ça !

Plantarède. — Mais pas du tout ! (A Saint-Franquet.) Ma femme a raison, monsieur… M’expliquerez-vous ?

Saint-Franquet. — Bon ! bon, c’est très bien ! Si vous trouvez bon que ce petit monsieur placarde à sa boutonnière des fleurs qu’on a vu porter à madame votre femme !

Micheline. — Ça ne vous regarde pas !

Plantarède. — Absolument !

Saint-Franquet. — Si vous admettez que ce gigolo vous rende ridicule…

Tous trois. — Ridicule !

Plantarède. — Ridicule ! Est-ce que, par hasard, vous voudriez insinuer que madame Plantarède…

Saint-Franquet. — Non ! mais…