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Page:Feydeau - Je ne trompe pas mon mari, 1921.djvu/246

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Micheline, d’une voix qui s’affaiblit. — Gérard !… Oh Gérard !… Gérard…

Saint-Franquet. — Micheline… Je t’aime !

Micheline, les yeux mi-clos, tandis que Saint-Franquet l’embrasse sur les lèvres. — Je ne trompe pas mon…

Rideau