Page:Feydeau - Je ne trompe pas mon mari, 1921.djvu/254

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Mais non ! c’est la dame qui… qui n’est pas madame Plantarède, tu entends… qui m’a donné un coup de pied.

Des Saugettes. — Oh ! Elle ne t’a pas fait mal, au moins ?

Saint-Franquet, rageur. — Non, non ! Fous le camp.

Des Saugettes, ramassant le bouquet et le retendant à Saint-Franquet. — Alors, tu lui offriras ce bouquet de violettes, ça lui fera plaisir !

Saint-Franquet. — Oh !… Oui, bon ! Allez ! On t’a assez vu ! Fous-moi le camp.

Des Saugettes. — Comme hier, alors ?

Saint-Franquet. — Oui, comme hier ! Allez ! va !

Des Saugettes. — C’est ça… oui !… (Il se dirige vers la porte.) Tu… tu n’as pas besoin de moi, non ?

Saint-Franquet. —