Page:Feydeau - Je ne trompe pas mon mari, 1921.djvu/63

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Non !… Oh ! mais, donnez-moi donc votre pliant… Vous êtes chargé…

Saint-Franquet, à part. — C’est pas un homme, ça, c’est un vestiaire !

Plantarède, se laissant débarrasser. — Merci. (A Saint-Franquet.) Tenez, un charmant garçon ; monsieur des Saugettes, que je vous présente…

Des Saugettes, ému. — Oh ! monsieur Plantarède !…

Saint-Franquet. — Mais j’ai déjà eu le plaisir de rencontrer monsieur tout à l’heure…

Des Saugettes. — En effet… oui…

Saint-Franquet. -… courant après une gaze de soie, comme un papillon après son filet.

Plantarède. — Ah ! oui, la gaze de ma femme !… Mais, mes enfants, c’est pas tout ça ; il faut que nous rentrions nous changer. Ma femme et moi, nous sommes en sueur !