Page:Feydeau - Je ne trompe pas mon mari, 1921.djvu/88

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Non ! je veux dire… Enfin, les hostilités ont cessé.

Il lâche Micheline.

Plantarède, accoudé à la fenêtre. — L’entente cordiale ! Bravo ! (Il tape dans ses mains ; Des Saugettes fait de même.) Je suis ravi. (A Micheline.) Dis-donc, mon loup, où as-tu mis mes faux-cols ? Je ne les trouve pas.

Micheline. — Attends ; je vais monter. (A Saint-Franquet.) Vous permettez ?

Saint-Franquet. — Je vous en prie.

Plantarède, à Saint-Franquet, une fois Micheline dans l’hôtel. — Ça a été dur ?

Saint-Franquet, levant les yeux au ciel. — Oh !

Plantarède. — Faut pas vous rebuter ! Le tout est de savoir la prendre.

Saint-Franquet. — Ben, oui, voilà !