Page:Feydeau - Je ne trompe pas mon mari, 1921.djvu/97

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

XVI====

Les mêmes, Bichon, puis Saint-Franquet

Dotty, allant à Bichon qui sort du filet avec la joueuse et le joueur de tennis et se dirige vers l’hôtel. — Oh ! mamoiselle !

Bichon, s’arrêtant. — Moi ? (Faisant signe à ses amis de rentrer sans elle et allant à Dotty.) Mademoiselle ?

Dotty. — Pâdon !… Je voulais demander… Je sais pas comment disé…

Bichon. — Allez, mademoiselle, allez.

Dotty. — Vous l’êtes bien… cocotte ?

Bichon, ahurie. — Comment ?

Dotty, malgré les signes de Tommy. — No, je dis… Vous l’êtes bien…

Bichon, vivement. — Oui, oui… Oh ! j’ai compris, j’ai compris, mademoiselle !… Oh ! mais, permettez…