Aller au contenu

Page:Feydeau - La Puce à l’oreille, 1910.djvu/246

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

FINACHE.

À merveille ! (Bas à Étienne qui après avoir déposé la jaquette est redescendu au 1.) Vous avez de l’ammoniaque par là ?…

ÉTIENNE.

Oui, monsieur.

POCHE, qui n’entend pas ce qu’ils disent.

Pour une aubaine, ça, c’est une aubaine !

Il va s’asseoir à gauche de la table.


FINACHE.

Eh ! bien, nous allons lui en préparer dix gouttes dans un verre d’eau.

ÉTIENNE.

Bien, monsieur.

FINACHE.

Et puis, quand il sera dégrisé, vous lui ferez prendre… (Passant devant Étienne.) Attendez, je vais vous faire faire une ordonnance.

ÉTIENNE, le suivant.

Oui, monsieur.

FINACHE, gagnant la droite.

Où y a-t-il de quoi écrire ?

ÉTIENNE, indiquant l’écritoire qui est devant la fenêtre.

Là, ce petit meuble !

FINACHE, se dirigeant vers le meuble indiqué.

Bien ! Ah ! mais d’abord, emmenez-le… Emmenez-le coucher.

ÉTIENNE.

Bien, monsieur le docteur. (Bien affectueux, à