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Massenay, envoyant promener ses bras en l’air.
Eh ! non, pas de Francine ! Qu’est-ce que tu me chantes avec Francine ? (Avec ardeur.) Non, de Sophie, de ma première femme !
Chanal, ahuri de ce qu’il entend.
Hein ?
Massenay.
Ah ! non, merci, Francine ! celle-là, quand je pourrai divorcer… !
Chanal.
Ah ! bien, du train dont vont les choses… !
Massenay.
Quoi, « du train » quel train ?
Chanal.
Quel train ? (Le prenant par la main et le faisant descendre.) Pas plus tard qu’il y a dix minutes, ta femme… là !… avec Coustouillu !
Massenay.
Ah ! là !… Qu’est-ce que tu chantes ? « Coustouillu » ?
Chanal.
Parfaitement ! Il l’étreignait dans ses bras, il la couvrait de baisers.
Massenay.
Coustouillu ? (Riant.) Ah ! tiens tu me fais rire.
Chanal.
Oui, ris, ris, nous verrons bien.
Massenay.
Ah ! et puis tant mieux, après tout, si cela est !