Page:Feydeau - Le Bourgeon, 1906.djvu/133

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La Comtesse.

Ah ! que tu me donnes de tourments.

Maurice.

Ce n’est rien. (A Etienne.) Adieu, madame.

Etiennette, s’incline à nouveau, puis au moment de sortir, jette un dernier regard à Maurice ; après quoi, à part, avec un soupir.

Ah ! C’est dommage !


RIDEAU