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Page:Feydeau - Le Bourgeon, 1906.djvu/161

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La Choute, bien naïvement.

Oh !… comme c’est plus long !

On rit.

Guérassin.

Ah ! il t’a dit ?… Eh bien, ça ne m’étonne pas ! ce pauvre Musignol ! campo aussi ; mais lui pas de son propre gré. Etiennette vient de rompre.

La Choute et Heurteloup.

Non ?

Guérassin.

Et en cinq sec encore !

Etiennette, remontant jusqu’à la petite table près du paravent.
Avec humeur.

Mais qu’est-ce que ça a d’intéressant ?

Heurteloup.

Ah ! bien, je comprends alors.

Guérassin, se rapprochant d’Heurteloup.

Et pourquoi, je vous le demande ?

Etiennette, se précipitant sur Guérassin.

Allons, voyons Guérassin !

Guérassin, l’écartant du bras gauche.

Si ! si ! il faut qu’ils sachent.

Etiennette, essayant de le faire taire en lui mettant la main sur la bouche.

Non !… non !