Page:Feydeau - Le Bourgeon, 1906.djvu/179

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Etiennette, agacée de tant de zèle de leur part, sur un ton un peu sec.

Laissez donc ! laissez donc !… (Sur un ton plus impératif.) Laissez !

Les trois femmes, interloquées.

Ah ?

Etiennette, sur un ton plus doux, et tout en avançant la bergère avec l’aide de Guérassin.

Voici le fauteuil qu’affectionne M. l’abbé ! Je commence à connaître ses goûts !

Les femmes, toutes déconfites, ont été remettre les meubles à leur place primitive. Guérassin, qui est resté au-dessus de la bergère après l’avoir avancée, remonte au-dessus de la table. Etiennette descend au fauteuil face à la bergère de Maurice et s’assied.

Maurice, assis.

Oh ! vraiment, mesdames, je suis confus !

ENSEMBLE

Paulette, revenant vivement.

Mais comment donc, M. l’abbé.

Cléo, id.

Mais c’est bien le moins, M. l’abbé.

La Choute, id.

Oh ! M. l’abbé, nous sommes trop heureuses.

L’abbé.

Oh ! mesdames…