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Page:Feydeau - Le Bourgeon, 1906.djvu/186

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un peu : on rira !…" (À part en riant.) Quelle brute ! (Haut, à Roger.) C’est bien ! dites que je viens ! (Roger sort. — A Maurice.) Je vous demande pardon, monsieur l’abbé, c’est une personne qui est là, qui a… à m’entretenir.

Guérassin, à part.

"A l’entretenir" ! c’est un rien !

Maurice, se levant.

Mais, mademoiselle, je vous en prie !… Ah ! seulement je vous demanderai la permission de vous présenter mes adieux.

La Choute.

Oh ! mais je reviens.

Maurice.

C’est que moi je suis obligé de partir.

Toutes, se levant.

Oh ! déjà ?… déjà ?

Maurice.

Hélas ! oui, mesdames, Je n’étais venu que pour prier madame de Marigny de m’excuser si je suis forcé de renoncer pour aujourd’hui à notre conférence quotidienne.

Etiennette.

Oh ! vraiment ?

Maurice.

C’est demain que je rentre à la caserne