Page:Feydeau - Le Bourgeon, 1906.djvu/190

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causant avec Cléo et Paulette, l’invitant à indiquer le chemin.) Guérassin !

Guérassin.

Entendu !

Il remonte et pendant ce qui suit, tout en bavardant avec Paulette et Cléo, passe dans la pièce de gauche dont la porte reste ouverte.

Etiennette.

Aussitôt madame votre mère partie, je viendrai vous donner l’explication.

Maurice. — Attendre, cela me mettrait bien en retard ! d’autant qu’il faut que je passe encore chez moi avant d’aller à la Place ; (Tout en marchant avec Etiennette dans la direction de la porte de gauche.) mais voici ce que je puis faire : de chez moi, — c’est sur mon chemin - avant la Place, je remonte ici savoir…

Etiennette.

Eh ! bien, c’est ça ! Tenez, passons par là. (A Roger, avant de sortir.) Et vous, introduisez ces dames.

Roger.

La bonne aussi ?

Etiennette.

Hein ?