Page:Feydeau - Le Bourgeon, 1906.djvu/332

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La Comtesse.

Oui.

Vétillé, hésite un moment, puis brusquement.

Ecoutez-moi, madame ! Je suis un vieux militaire et pour moi un chat est un chat.

La Comtesse.

Oui, Docteur, oui.

Vétillé.

Eh ! bien, ce qu’il faudrait à votre fils, dame !… il faudrait !… il faudrait !…

La Comtesse, sur les charboms.

Mais quoi ? Quoi ?

Vétillé, éclatant.

Mais qu’il marche, madame ! qu’il marche !

Etc., etc.

FIN